Alors que la pandémie a poursuivi ses soubresauts dans une année atypique, les adhérents de l’Association Foie gras du Périgord ont continué à perpétuer les pratiques vertueuses de l’agroforesterie, à travailler la terre dans le respect de l’environnement et à oeuvrer en faveur du bien-être animal.
Lorsque le dernier numéro d’Arbres à Plumes vous a été proposé en novembre 2020, la pandémie de la Covid-19 battait son plein. Aujourd’hui, l’heure est à l’espoir et aux retrouvailles. Pendant ce temps, les adhérents de l’Association Foie gras du Périgord, sentinelles de la terre, ont continué à perpétuer les pratiques vertueuses de l’agroforesterie et à œuvrer en faveur du bien-être animal et du respect de l’environnement.
« Qui a planté un arbre n’a pas vécu inutilement ». C’est avec ce proverbe africain, sage et gorgé d’esprit, que nous avons choisi d’ouvrir le deuxième numéro d’Arbres à Plumes, votre magazine trimestriel consacré aux pratiques vertueuses et aux défis que relèvent au quotidien les productrices et les producteurs de canards et oies à Foie gras du Périgord.
“Le meilleur moment pour planter un arbre, c’était il y a 20 ans. Le deuxième meilleur moment, c’est maintenant”. C’est avec ce sage proverbe chinois que nous avons ouvert le tout premier numéro (août 2020) d’Arbres à Plumes, le nouveau magazine consacré aux pratiques vertueuses et aux défis quotidiens des productrices et producteurs de canards et oies à Foie gras du Périgord.
Le bien-être animal et le respect de l’environnement sont des priorités de la filière Foie gras du Périgord. Pour cela, elle suit de près les travaux et expérimentations de la Ferme de l’Oie et du Canard à Coulaures en Dordogne. Cette structure scientifique travaille notamment sur l’agroforesterie, qui est progressivement mise en place dans les élevages.
Le Lycée agricole de Périgueux Coulounieix-Chamiers est lauréat du Concours Général Agricole, pour son Foie gras entier de canard du Périgord conserve et pour ses rillettes pur canard !
En Dordogne, les scientifiques de la Ferme de l’Oie et du Canard ont beaucoup travaillé sur l’agroforesterie. Le principe est de trouver une symbiose entre l’élevage des palmipèdes, le respect des sols, et la plantation d’arbres. L’équation est 100 % gagnante.
